Oh... un distributeur qui vole ! (PV Shizuo)

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Soleil, chaleur, fille... non mais oh, Mizora n'est pas fan de Yuri ! Recommençons, Soleil, chaleur,... c'est mieux !
Donc oui, il faisait chaud et le soleil était là, tout ce qu'il y avait de beau pour que Mizora soit de bonne humeur. Qui plus est, elle avait enfin réussis à remonter sa moyenne grâce à une note maximal en Histoire. Elle ne savait même pas comment elle avait fait. Le mystère planait derrière cette note... enfin non, c'était peut-être juste car elle avait fait une nuit blanche en « apprenant » sa leçon... même si on ne peut pas appeler ça apprendre. Elle avait surtout passé la nuit sur son ordinateur, entrain de Tchater sur la ChatRoom.
La sonnerie venait de retentir et Mizora était déjà dehors, comme d'habitude, première sortie. Elle battait son record. Enfin bref, Mizora était sortie la première, elle avait eu une bonne note,...,... pas de problème, alors pourquoi s'inquiétait-elle ? Pour rien ! C'était une habitude chez elle.
Elle marcha donc dans les ruelles qui longeais le lycée et s'arrêta devant un distributeur... elle avait soif. Problème ? Non, aucun... Mais si, pourquoi le distributeur était a l'envers ? Alors là, elle était choqué, mais très ! Qui avait bien put faire ça ? A part.. Non, mieux vaut ne pas y penser, ça porte la poisse.

Toujours...il fallais toujours qu'on le pousses à bout alors comment vouliez-vous que ça se termine autrement que de cette façon? La colère, la puissance déployé en soulevant un objet lourd...le besoin de jeter quelque chose, de lui faire regretter sa provocation....puis le calme. Un calme apaisant? Tendu? Ou plutôt horrifiant? Peut-être simplement les trois à la fois...du moins pour le barman...après la tempête viens un calme absolu...pas toujours notamment quand la personne concerné se trouve être un informateur néanmoins cela n'était pas le cas alors inutile d'y penser et d'en parler. Sortant de son étui une cigarette qu'il alluma tranquillement, le blond tourna son regard vers l'homme encore sous le choc de cette confrontation et s'empressant de déguerpir manquant de s'étaler par terre en lâchant un cri plutôt aigu montrant sa réel peur face "au monstre".

-T'che...

Il fit ainsi demi tour sur ses pas, redressant ses lunettes sur son nez se demandant ce qu'il pouvais bien faire aujourd'hui vu que Tom n'avais pas besoin de lui pour le moment. Baah tout ce qu'il lui fallais c'était du calme...beaucoup de calme car la prochaine personne qui l'énerverais n'irais pas rejoindre un buisson en volant...mais un immeuble. Tout ça lui avais donner soif...oui car il ne faut pas croire mais "se défouler" sur une personne qui vous as regarder de manière méprisable sans raison et qui après, se rappel que ce costume de barman ne lui est pas inconnu d'après des ragots là....Enfin bon...passons, ce n'était qu'un mec parmi tant d'autres dont Shizuo ne se souviendra plus. Il sorti de ses pensées, le regard toujours aussi inexpressif mains dans les poches et remarqua une jeune fille près d'un de ses distributeurs d'un air pour le moins...sceptique? Curieuse? Étonné? En tout cas cela avais l'air de la perturber de le voir...dans cette position. Rien d'étonnant pour lui il en voyais tout les jours....par sa propre faute va t-on dire...Il redressa donc le distributeur silencieusement et le poussa contre le mur et remarqua que quelques cannettes en était sortis, il en pris donc une...après tout combien de fois c'était-il fait arnaquer par cette satané machine? Il ne les comptais plus...bien que le distributeur y passais après...à part quand Tom arrivais pour le retenir et l'empêcher de faire cette bêtise. Il tourna sa tête vers la fille et demanda tout à fait naturellement en tendant une canette.

- Tu en veux?

Oui, monsieur le barman est particulièrement peu loquace mais on peut dire qu'il est tout ce qu'il y a de plus naturelle. Oui il ne connaissait pas cette personne, non il est loin d'engager la conversation mais vu qu'il y avais cette canette en plus et qu'il y avais cette personne à coté, il était normal de lui proposer...enfin normal....pas si c'était une fouine.

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Rien. Rien n'avait jamais étonné plus Mizora que ça. Comment un simple homme avait-il put relever ce distributeur. C'était un démon ? Non, ça, c'était ce que l'Otakette de Mizora avait pensé au début, mais vu que nous étions à Ikebukuro, rien n'était étonnant.

-Tu en veux ?

Woaw, l'homme lui avait parlé et lui tendait une canette. Qu'allait-elle faire ? Telle qu'elle était, elle ne pouvait pas accepter, mais elle avait si soif... Mais si ce n'était pas une canette du distributeur mais une empoisonnée ? Après tout, beaucoup de disparition avait eu lieu... ça mettait mal à l'aise la jeune fille qui comme à son habitude, regarda ses pieds, ne sachant que dire a part un « Eto » habituel mais que cette fois-ci, elle ne voulait pas prononcer. En plus, si elle tardait trop à répondre, ça risquait d'énerver l'homme.. Qui plus-est, elle ne voulait pas accepter quelque chose qui avait était.. volé ?

-Eto....

Zut, elle l'avait dit ! Franchement, elle ne savait dire que ça... timide comme elle est, c'était compréhensible, mais sortir ça à chaque fois qu'elle voyait quelqu'un... ça devenait grave, n'est-ce pas ? *Que faire ? J'ai dû l'énerver, je vais mourir ?Est-ce une de ces personnes qui kidnappe les immigrés ? * Ce fut les seules pensait qui sortait de son esprit. Et ce, pendant une bonne minute. Après, elle décida de regarder l'homme en face.. ou plutôt essayer. Il ce trouvait qu'il était habillé en Barman, blond, avec des lunettes. Ça lui évoquait quelque chose mais ne savait plus trop quoi. Elle avait mieux à faire que de soucier des ragots de la cité.

-Oui...

Ca y est ! Elle avait réussi à parler. Elle avait même accepté quelque chose d'un inconnu, mais bons, qui pouvait lui reprocher d'avoir soif ? En tout cas, ça n'était plus sa famille et n'ayant aucun amis, personnes ne serait là pour lui dire qu'il ne fallait pas accepter quelque chose d'un étranger à qui on n'as jamais parlé.
Soit, elle aurait peut-être dû mettre un « merci » ou un « s'il vous plaît », mais elle n'osait pas trop parler et elle ne comptait pas changer pour quelqu'un qu'elle venait de rencontrer.
Après avoir dit ces quelques mots, elle se remit à regarder ses pieds, petite manie qu'elle avait quand elle ne savait pas trop quoi faire ni dire. Elle se mordit la lèvre inférieur, se demandant si elle avait répondu correctement à cet inconnu ou si elle aurait dû être plus... présentable ?

Après la proposition faite à la jeune fille, celle-ci paru quelque peu hésitante...non... elle semblait ne pas vouloir accepter son offre tout court mais quelque chose l'y contraignait tout de même. Il se doutait un peu ce que c'était, enfin comme les autres personnes qui le rencontrait....Pourtant s'il n'avait pas été Shizuo et qu'il avait rencontré une personne comme lui dans la rue, aurait-il eu peur? Assurément, il a bien peur de lui-même alors les autres doivent aussi ressentir cette terreur dans leurs entrailles.
Ces yeux exorbités, ces tremblements incessants qui se manifestent à l'extérieur tandis qu'à l'intérieur de vous des frissons vous donnant la chair de poule se font ressentir. Votre gorge se serre et vous n'arrivez plus à articuler le moindre mots juste des bégaiements ou choses indistinctes parviennent à vos oreilles ainsi qu'à celle de votre interlocuteur. Votre cœur battant fort contre votre poitrine et ne cessant d'accélérer un rythme que vous considéreriez d'étouffant ne vous aide pas dans votre tâche pour prendre la fuite, vos jambes étant comme bloquer au sol, votre cerveau se prend même à dérailler et ne plus fonctionner correctement malgré que vous aillez entendu son alerte comme un nom s'inscrivant dans votre esprit: Heiwajima Shizuo. Une panique vous envahit et prend possession de vous; votre instinct de survie jaillit et peut vous pousser à tout et n'importe quoi.
Après un long moment de silence, un "Eto" surgit des lèvres de la blonde alors que le barman resta patient détournant la tête pensant qu'elle n'allais pas répondre. Cela le dérangeais? Pas tellement il était habitué, tanpis la vie reprendrais son cours comme d'habitude. Il but sa canette la vidant peu à peu en attendant la réponse de la jeune fille le regard inexpressif. A l'entente du "Oui" il déposa simplement la canette dans la main de celle-ci et posa sa main sur sa tête comme pour la rassurer, lui souhaiter une bonne dégustation ou simplement lui dire au revoir puis la retira se redressant et remis ses mains dans ses poches.

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Mizora sentit le froid de la canette de sa mains et un poids se poser sur sa tête. Pour une fois, elle trembla pas et n'hurla pas comme à son habitude de .. peureuse ? Non, Mizora n'était pas une peureuse, juste qu'elle... était plus que timide niveau vie réelle... Elle était surement plus à l'aise sur son ordinateur, comme sur la ChatRoom, plutôt que dans ce monde....

Mizora sentit aussi la main u blonds 'enlevait de sa tête et vit qu'il les avaient remis dans ses poches. Heureusement, elle ne l'avait pas énervé.

-Merci...

Au moins, elle avait réussis à être polie à ce niveau là. Certe, sa voix avait était faible, et elle n'était même pas sur que la personne l'ait entendu. Et si elle l'avait entendu, Mizora avait peur qu'il ai entendu autre chose de vexant.
Elle ouvrit la canette de ses mains "faibles" de fille de quinze ans. Elle approcha la boisson de ses lèvres et se mit à boire tout doucement et ainsi se désaltérer au maximum.
Ensuite, elle regarde le blonds plus en détail en essayant de se souvenir si elle ne l'avait pas déjà vu quelque part, et si non, mémorisé les caractéristiques principales de ce dernier pour pouvoir le remercier quand elle le révérait. Blond, yeux jaunes, grands, force spectaculaire,... elle essaya de se mémoriser tout ces détails. Sans pour autant faire attention à ses vêtements qui aurait peut-être put la guider. A près tout, un costume de Barman n'était pas très courant. Surtout avec une force surhumaine qu'on ne voyait que dans les mangas ou dans les films.
La jeune NightMoon décida de poser une question, certe qui risquait d'être mal reçu, mais bon, elle voulait quand même savoir qui était cette personne.

-Mizora... Mizora NightMoon. Et vous ...?

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Malgré le fait que le barman n'est pas demandé le nom de cette jeune fille ni même effectué une quelconque présentation -et d'ailleurs cela ne lui avais pas traverser l'esprit- celle-ci s'était nommé. Mais que devait-il faire lui...? Le "et vous?" proposais une réponse à son interlocuteur, entre autre lui vu qu'il n'y avais qu'eux en cet instant. Mais il hésitait...ce genre de formalité lui déplaisait plus particulièrement parce que son nom n'était pas inconnu du public et lui aurait valu certaine réaction. On aurait pu dire qu'il s'en fichait mais à la fois pas tellement, cela ne faisait que le mettre au pied d'un mur ou serait marqué "monstre" en lettres majuscules et il le savait assez pour qu'on lui rabâche sans arrêt. Il l'avait inculqué au plus profond de lui, la fouine le lui répétait assez souvent, les hommes ou tout groupe le fuyait comme la peste ou venait se bousculer pour voir s'il arriverait enfin à tuer cette bête et ainsi s'attribuer un prestige sans nom et attribuer à leur gang une popularité indiscutable. Oui, c'était ça que lui procurait son nom à présent; une sorte de dégout, ce qui le caractérisait le plus n'était qu'une étiquette sur lequel se braquait les individus....et c'est cela qui l'énervais. A chaque regard porté sur lui ou presque, il pouvait les ressentir...les sentiments qui lui étaient accordés: cette hostilité à son égard sans qu'on le connaisse personnellement, cette terreur de le voir tout détruire, cette méprisante envie de le vaincre. Un nom peut avoir une importance particulière....un passé, un présent et un avenir...un début et une fin. Un nom cachait beaucoup de choses, un peu de la personnalité de son possesseur et la façon dont l'avais prononcer la personne face à vous. Après il y avais bien quelque réfractaire à le nommer correctement remplaçant cela par un surnom grotesque ou déplaisant comme "Shizuo-chan" comme cet asticot ou Shizuo-kun pour d'autre connaissances plus intime. Les surnoms sont essentiellement utilisés avec les personnes que l'on connait bien et que l'on apprécie....mais certains les utilise ou en crée plutôt pour se moquer de la personne ou parce qu'il la méprise, comme lui pour Izaya: "la fouine" "l'asticot". Un nom signifie donc en somme à la fois beaucoup de choses et très peu...c'est en particulier une identité, une façon de poser notre existence aux autres.

-Shizuo Heiwajima....enchanté...

Il inclina poliment la tête en se présentant mais n'attendis pas une quelconque réaction ou de prolonger la conversation; très peu pour lui surtout quand il ne connaissais pas la personne. La peur d'entendre quelque chose qui lui déplaise, la peur d'un mouvement qui le fasse réagir, la peur de s'énerver, la peur de ne pas pouvoir se contrôler à nouveau et devant une enfant. La peur de lui en résumé...voilà pourquoi il ne cherchais pas un contact trop prolongé et de plus, les enfants ne devraient pas parler à des inconnus en particulier lui. C'est ainsi qu'il s'en alla mains dans les poches sans attendre son reste.

[hrp: Tu peux finir le poste Mizora, Shizuo est parti et on pourra dire que ce rp est terminé ]

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Mizora voyait bien que le blond réfléchissait à ce qu'il allait répondre, si il répondait. Elle attendit donc patiemment la réponse du blond ou.. la fuite de ce dernier. Mais quand elle commençait à croire qu'il ne lui dirait pas, il parla.

-Shizuo Heiwajima.. Enchanté...

Shizuo... Heiwajima ? Ce nom lui disait vaguement quelque chose.. Mais quoi ? Et puis, de toute façon, était-ce la même personne ? Il y avait beaucoup de gens à Ikebukuro, et elle avait très bien put entendre son nom autre part... En n voyant que le dit Shizuo se retourner pour partir. Une sorte de flash-back fit interruption dans sa tête. Elle se souvenait d'où elle avait entendu ce nom. C'était dans un journal... Une poubelle de supérette qui volait dans les airs ? Comme le distributeur ? Oui ! Elle en était sur maintenant. Mais que disait-il sur lui ? "Grande terreur d'Ikebukuro .." ? "Danger pour les habitants" ? Elle ne savait plus trop mais c'était à peu près ça. Mais elle ne comprenait pas vraiment. Il avait l'air sympathique, certes, un peu froid et distant mais il n'avait pas l'air très dangereux a part sa force..

En voyant qu'il était déjà partit, Mizora sourit, se disant qu'il était peut-être comme elle. Rejeté de la société. Elle se demandait même si elle le reverrait ou si ils seront amis dans le futur. Et c'est sur ces pensées qu'elle rentra chez elle. Souriante et assez joyeuse de sa journée et de sa rencontre.

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